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Le garde malade permet à certaines personnes fragiles de ne pas se retrouver seules chez elle.
Il contribue au maintien à domicile des personnes dépendantes, âgées ou malades, ce qui évite bien souvent, le placement non souhaité dans des structures spécialisées.
Le garde malade apporte un secours précieux aux personnes fragiles restant à leur domicile en veillant à leur confort physique et à leur bien-être moral.
Le garde malade peut effectuer sa prestation de jour comme de nuit, ces personnes craignant souvent un malaise ou une chute.
Sa présence peut être permanente ou occasionnelle suivant l'état du patient concerné. Il doit être disponible à tout moment.
Il est le lien entre l'individu restant à son domicile et la famille.
Le garde malade intervient au domicile des personnes présentant une fragilité et un état de dépendance temporaire ou permanente.
Son atout majeur est de permettre le maintien à domicile de l'individu.
Le ou la garde malade est très autonome et va apporter son aide à la personne dans la réalisation des actes de la vie courante, à savoir :
Il n'assure pas les soins médicaux, toutefois, il peut aider la personne à prendre ses médicaments si ces derniers ont été prescrits par un médecin.
Le garde malade à domicile travaille souvent en collaboration avec les médecins, infirmières, l'aide à domicile et l'aide ménagère.
Il doit rendre compte de ses interventions à l'entourage familial de la personne concernée.
Les personnes dépendantes, âgées ou handicapées préfèrent rester chez elle pour conserver leurs repères.
Le garde malade à domicile :
L'activité de garde malade permet de maintenir les personnes fragiles à leur domicile. De ce fait, ces dernières peuvent bénéficier de différentes aides.
Les intervenants sont des professionnels de santé salariés des hôpitaux publics ou privés: médecins généralistes, infirmiers, aide-soignants, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, diététiciens, assistants sociaux, psychologues, prestataires de services.
Les critères d’inclusion en HAD sont les mêmes qu’en établissement d’hospitalisation complète. De fait, l'HAD présente les mêmes caractéristiques qu'une hospitalisation classique. Les intervenants sont des professionnels de santé salariés des hôpitaux publics ou privés, qui ont la particularité d’être mobiles dans des véhicules affrétés par les structures hospitalières. La prise en charge de patients souffrant en général simultanément de plusieurs affections nécessite l’intervention de spécialités et de disciplines différentes.
Ainsi, des avis complémentaires peuvent être requis : bilan social, ergothérapeute, orthophoniste..
On trouve donc parmi ces intervenants : des médecins généralistes, des infirmiers, des aides-soignants, des kinésithérapeutes, des ergothérapeutes, des diététiciens, des assistants sociaux, des psychologues, des orthophonistes, des personnels administratifs…
L’activité de ces divers intervenants doit donc être coordonnée à partir du protocole de soins. C’est le rôle de l’HAD au travers du médecin coordonnateur, élément clé du fonctionnement médical de la structure. Mais l’HAD met aussi à contribution des prestataires de services, dont le rôle est de fournir et d'installer des équipements médicaux (lits médicalisés, pompes à perfusion, bouteilles à oxygène...), des aides-ménagères, des auxiliaires de vie ou des sociétés d'ambulance qui assurent l'acheminement des patients vers les centres d'examens spécialisés. On mesure ici la complexité d'une telle structure.
Les structures d’hospitalisation à domicile recourent le plus souvent à un médecin libéral choisi librement par le malade. De même, la prescription directe par un médecin de ville d’une hospitalisation à domicile est possible. Elle reste cependant minoritaire à ce jour, faute d’information des médecins de ville sur les structures d’HAD existantes.
Qu’il soit ou non le prescripteur, le médecin traitant reste cependant le pivot dans l’organisation d’une HAD. Il est le responsable de la prise en charge qu’il a défini en concertation avec l’équipe médicale et paramédicale. Ce projet de soins comprend : les objectifs de la prise en charge, les actions à mettre en place (médicales, paramédicales, psychologiques et/ou psychosociales) et la durée des soins. Il assure donc le suivi médical, la surveillance des soins lors de ses visites. A cette occasion, il adapte si nécessaire les traitements et peut faire intervenir un médecin spécialiste après recueil de l’avis du médecin coordonnateur. Il est responsable de son diagnostic et de ses prescriptions. Il est le garant avec le médecin coordonnateur, du début à la fin de la prise en charge, de la qualité de l’information concernant le malade, de son état de santé et de son traitement.
Rappelons que pour assurer l’organisation des soins, chaque établissement comprend un médecin coordonnateur et un infirmier coordonnateur, véritables chefs d’orchestres au service des patients 24h/24 et 7 jours sur 7. Le médecin coordonnateur est recruté et salarié par le service d’HAD, ou mis à disposition de celui-ci par contrat avec un établissement de santé. Il est responsable de la prise en charge globale du patient et dans ce cadre, il remplit un certain nombre de missions aussi bien médicales qu’administratives.
Les cadres infirmiers, quant à eux, sont salariés de la structure d’HAD et assurent des fonctions de coordination des soins en appui du médecin coordonnateur auprès des paramédicaux employés ou rétribués par l’HAD.
L’infirmier coordonnateur organise, planifie et vérifie l’adéquation du plan de soins aux besoins du patient.
Enfin, les infirmiers mettent en œuvre le protocole de soins au chevet du patient et communiquent les éléments cliniques utiles dans la prise en charge du patient au travers du dossier de soins. Ils participent à l’élaboration des protocoles et à leur réévaluation. Ils peuvent êtres salariés par l’établissement et/ou libéraux rétribués à l’acte. Dans ce dernier cas, ils sont tenus de respecter les pratiques de la structure en ce qui concerne les protocoles de prise en soins, la continuité de soins, les modes de transmission des informations, le dossier de soins. Ils s’engagent à participer régulièrement à l’évaluation des pratiques et leur évolution éventuelle.
Soulignons que l’HAD est complémentaire des structures telles que les SSIAD (service de soins infirmiers à domicile), dont elle a vocation à prendre éventuellement le relais si la situation du malade s’aggrave, et a contrario auxquelles elle peut confier un malade stabilisé. Même si l’HAD se distingue des SSIAD par le niveau de soins que l’on y dispense et par la coordination médicale des soins, la continuité des soins entre SSIAD et HAD doit être assurée à l’image de la complémentarité souhaitée avec les établissements d’hospitalisation complète évoquée précédemment.
Source : infirmiers.com
Créée en 2004, association loi 1901, LES COMPAGNONS DE VIE A DOMICILE est un service d’aide à la personne, à but non lucratif, dont l’objectif est un service d'aide et accompagnement à domicile toute personne quel que soit son âge ou son handicap, qu’il s’agisse d’une aide ponctuelle (grossesse, naissance, accident, hospitalisation, maladie) ou d’un accompagnement durable, pour les personnes âgées ou handicapées en perte d’autonomie.
Notre engagement est d’apporter une prestation correspondant au mieux aux attentes et aux choix de vie de nos bénéficiaires et ainsi, de leur permettre de vivre chez eux dans les meilleures conditions matérielles et morales.
Tout ceci, dans un souci permanent de qualité optimale et de continuité de service 24h/24 et 7j/7.
Membre de l’UNA,1er réseau de l'aide, des soins et des services aux domiciles, nous travaillons en partenariat avec les organismes publics et suivons les recommandations de la norme de qualité NFX50-56 Services à la personne.
Ainsi, l’association est agréée, et habilitée à l’aide sociale avec le Conseil Général des Yvelines (APA, PCH).
Afin de garantir une prise en charge et un suivi pluridisciplinaires des dossiers de nos bénéficiaires, l’association est conventionnée avec la CPAM des Yvelines, la CRAMIF, les Caisses de retraite complémentaire, et les mutuelles
Notre atout : Nous avons une bonne coordination entre intervenants, assistantes sociales, et les médecins.
Pour tout renseignement complémentaire n’hésitez pas à nous contacter :
Mail : contact@lescompagnonsdevie.org
Téléphone : 01 34 11 95 88
La garde malade à domicile constitue une innovation dans l’organisation du service d’aide et d’accompagnement à domicile de l’association Les Compagnons de Vie A Domicile. La garde malade à domicile assure présence et surveillance au chevet du patient Elle collabore à son bien-être et confort physique et moral. Elle apporte une aide ponctuelle ou continue. Elle assure les soins de confort (changement de protection, de vêtements, …) et des soins d’hygiène (toilette, rafraîchissement de la personne, massage prévention des escarres, …). Elle intervient, en complément de l’aide familiale et/ou infirmière pour les tâches suivantes :
Aide au lever, aux repas, changement de protection, aide au coucher et assure un rôle relationnel en mettant tout en œuvre pour préserver l’autonomie de la personne malade. Le rôle des gardes malades à domicile constitue ainsi un complément indissociable de toutes les autres mesures de maintien à domicile. L’association Les compagnons De Vie A Domicile assure leur formation et mettent les gardes malades à disposition des personnes et de leurs proches à domicile. Astreinte téléphonique 24 H/7J
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La France sait guérir, pas prévenir On savait déjà que le système de santé français pêchait par ses carences en matière de prévention. Une étude européenne sur l’espérance de vie sans incapacité (EVSI), qui vient confirmer ce constat, est très alarmante, notamment pour la génération des 55-65 ans. © Gilles Lougassi - Fotolia Vaut-il mieux mourir jeune et en bonne santé, ou vieux et dépendant ? C'est la principale question/conclusion qu’ont retenu les médias généralistes de l’enquête, publiée le 19 avril dernier, sur l’espérance de vie sans incapacité (EVSI), l'indicateur utilisé depuis 2005 en Europe pour mesurer le nombre moyen d'années vécues sans incapacités. Mais au-delà de ce questionnement, la véritable valeur ajoutée de cette enquête, c’est de mettre le doigt là où ça fait mal. C’est-à-dire sur les carences manifestes de la politique de prévention en France, par rapport à nos voisins européens. De fait, en France, à la différence d'autres pays, la baisse de l'espérance de vie sansincapacité a diminué au cours des dernières années, passant, entre 2008 et 2010, de 62,7 ans à 61,9 ans pour les hommes, et de 64,6 ans à 63,5 ans pour les femmes. Et cette légère diminution de l'EVSI française concerne surtout la tranche d'âge des 55-65 ans. Cette catégorie intermédiaire de la population, celle de la période charnière du passage à la retraite, exprime un sentiment d'épuisement en hausse, une baisse de tonicité, qui se traduit par le fait d'accomplir de manière de plus en plus difficile certaines activités relevant de la sphère professionnelle ou sociale. Le risque, c'est du coup un décrochage accru au moment de la retraite, une réduction significative de l'activité, premier pas vers un isolement progressif. Or cet isolement est également la première marche d'une fragilisation, dont le dernier palier est la dépendance. Et si les futurs aidants arrivent demain à l'âge de la retraite (repoussée au fur et à mesure) avec déjà une sentiment prononcé d'épuisement, il sera aussi encore plus difficile de tabler sur leur disponibilité…
Après une baisse en 2009, les charges en personnel de certains hôpitaux ont augmenté en 2010, pour se monter à plus de 45 milliards d’euros, selon une note de la banque Dexia. En cause : l’augmentation des effectifs elle-même et celle des rémunérations des agents.
Taux de croissance des charges de personnel en baisse pour les grands hôpitaux, hausse pour les plus petits centres hospitaliers. C’est ce constat fortement déséquilibré que dresse Dexia, banque en cours de démantèlement, dans sa dernière note de conjoncture sur les finances hospitalières (cliquez ici pour télécharger la note). Dans le détail, Dexia relève que les plus gros centres hospitaliers régionaux et universitaires (CHRU), “ont comprimé leur masse salariale”,voire sont “parvenus à réduire ce poste de charges”.En revanche, la tendance est à l’exact opposé du côté des petits centres hospitaliers. Ceux-ci affichent, note Dexia, “un taux de croissance plus élevé que la moyenne nationale, 3,1 % (2,4 % en 2009)”. “Au sein de ce groupe, ce sont les centres hospitaliers de taille moyenne (budget compris entre 20 et 70 millions d’euros) qui enregistrent le taux d’évolution le plus fort”, poursuit la banque, soit 3,7 %.
Un double phénomène serait à l’origine de cette hausse : la progression, même faible, des effectifs tout d’abord. 900 médecins supplémentaires ont ainsi été recrutés, portant les effectifs des personnels médicaux salariés dans les établissements publics de santé de 63 500 à plus de 64 400 salariés ETP (équivalent temps plein, hors internes), soit une hausse de 1,3 %, contre plus de 2 % en 2009. Concernant les effectifs des personnels salariés non médicaux, “la hausse est encore plus faible”, de l’ordre de “1 % contre 0,4 % l’année précédente”, calcule Dexia. Les effectifs du personnel non médical ont gagné plus de 8 000 agents, passant ainsi de moins de 829 000 à plus de 837 000 salariés ETP. Rappelons que 1,01 million d’agents sont employés dans les hôpitaux, soit 20,8 % du total de l’emploi public.
45,4 milliards d’euros
Légèrement plus nombreux qu’en 2009, les agents ont également connu des revalorisations de salaires, ce qui est à l’origine de l’augmentation de la masse salariale. Mais pour Dexia, “l’analyse de la progression des rémunérations est délicate, plusieurs facteurs entrant en jeu”. Revalorisations infra-annuelles du point d’indice, “glissement vieillesse technicité” (GVT), mesures catégorielles diverses, etc., se conjuguent pour expliquer cette hausse.
Au total, les charges de personnel s’élevaient en 2010 à 45,4 milliards d’euros, soit une hausse de 2,5 % contre 1,8 % en 2009. Année au cours de laquelle les dépenses de personnel avaient connu, selon Dexia, “une forte décélération, en rupture avec les taux de croissance relativement élevés de la décennie 2000”.
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