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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 13:20
 

Plus de la moitié des Français redoutent la perte d’autonomie liée au vieillissement et pour eux, le recours aux services à domicile est une évidence. 9 Français sur 10 feraient appel à un intervenant à domicile s’ils se trouvaient en situation de dépendance (étude Ipsos 2010). De nombreux services à la personne pourraient être mobilisés pour favoriser un maintien à domicile.

C’est pour cela que l’ANSP travaille avec les acteurs du secteur sur une véritable innovation : la définition de bouquets de services. Le cadre de la démarche a été défini, il s’agit à présent de la tester opérationnellement.
L’ANSP vient ainsi de lancer l’expérimentation sur dossiers aux côtés de deux Caisses d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail (CARSAT). D’autres financeurs sont sollicités. Un accompagnement des offreurs est aussi à imaginer, avec de nouvelles responsabilités. Les services à la personne pourront ainsi mieux apporter leur contribution à ce défi majeur de notre société.

 

Par Olivier Wickers, directeur général de l’Agence nationale des services à la personne

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 12:22

 

 

Annie de ViviePorté par les plus hautes instances de l'Etat, le 3e Plan Alzheimer qui s'achève, révèle de nombreux pièges.

L'invisibilité des personnes malades est le premier de ces pièges. Elles ne sont représentées que par leur proches, leurs familles, mais demeurent elles mêmes peu entendues, peu audibles, peu visibles. L'effroi autour de la maladie d'Alzheimer est tel que les personnes malades sont considérées à priori comme incapables, disqualifiées. On voit aussi revenir la question de la dignité jusqu'au bout de la vie et le retour de demandes d'une légalisation de l'euthanasie.
Et pourtant, des expériences, des initiatives montrent que leur intégration sociale est possible (activités sociales, culturelles, physiques juste adaptées et non dédiées). Vivre Alzheimer autrement est possible.

L'invisibilité des réponses collectives fâchent les acteurs publics, politiques qui veulent inaugurer, couper des rubans.
Les proches, les familles réclament un guichet unique du diagnostic à l'aide quotidienne? Les actuels centres locaux d'information et de coordination(Clic de niveau 3) voient sortir de terre les MAIA (Maison pour l'intégration et l'autonomie des malades Alzheimer), avec des référents professionnels, que ces Clic réclament pour les malades Alzheimer certes, mais pour toutes les situations complexes.
Les unités spécialisées Alzheimer dans les établissements d'accueil existent ? Elles doivent devenir des PASA (Pôles d'activité et de soin) ou des UHR (unité d'hébergement renforcés). Les professionnels regrettent un rythme d'ouverture très lent, un cahier des normes très strict, une forme de ségrégation de l'offre interne pour les seules personnes malades Alzheimer (et les autres ?). Ils pointent le manque notoire de professionnels formés et compétents auprès des personnes fragilisées 24h sur 24, 7 jours sur 7.

A domicile, les aidants ne voient toujours rien de bien concret venir. Ils réclament de l'information, de la formation (le plan répondra en partie sur ce point). Agevillage apporte sa pierre avec le Dvd pour les aidants et le message d'espoir de l'approche Humanitude), mais aussi de l'aide, du soutien, du répit : le déploiement des accueil de jour, des hébergements temporaires est lent (coûteux ?), l'idée du baluchon Alzheimer (aide à domicile 24H/24) rencontre toujours des freins importants.

L'invisibilité des réponses médicales poussent les familles à réclamer le maintien du remboursement de médicaments à l'effet contesté, mais qui maintiennent le statut de "malade" aux yeux des professionnels.

L'invisibilité des financements pour accéder aux services est toujours dénoncé. Sans 5e risque, sans APA renforcée, les personnes malades et leurs proches vivent avec un reste à charge de plus de 1000 euros par mois, rappelle France ALzheimer.

L'invisibilité des personnes malades est à mes yeux un des principaux pièges de la maladie. Vieux, malade, Alzheimer, c'est trop.
Gageons que ces malades qui commencent à prendre la parole partout dans le monde (voir le site Internet de Richard Taylor), les cinéastes qui osent parler de la maladie en des termes poétiques ("Loin d'elle" est programmé à la télévision cette semaine), voir la "révolte" des malades jeunes (association Ama Diem) changera demain la donne. A lire aussi cette semaine "Alzheimer system" pour les professionnels de la gérontologie.

Entre temps, France Alzheimer pointe un plan Alzheimer 2008 -2012 couvert seulement au tiers. Malgré l'engagement réel au plus haut sommet de l'Etat, l'association a interpelé les candidats à l'élection présidentielle.

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 12:05
 
Qu’avons-nous fait de nos 15 ans ? Le Mensuel des Maisons de Retraite a été, toutes ces années, le témoin privilégié de l’extraordinaire bond en avant du secteur des Ehpad. Un œil dans le rétroviseur, l’autre vers l’horizon, les 2es Assises nationales des dirigeants d’Ehpad balayeront tous les sujets qui ont été, sont et seront au cœur de vos préoccupations de professionnels des Ehpa/Ehpad.

De la naissance des politiques publiques en faveur de l’autonomie, en passant par la tarification des établissements, à la qualité et à son évaluation, et à l’enjeu de la communication… Nous débattrons à l’heure où débute une nouvelle séquence politique majeure. Parmi les intervenants pressentis : Paulette Guichard et Philippe Bas, anciens secrétaires d’Etat (et ministre pour le second), chargés des personnes âgées, Claudy Lebreton, président de l’ADF, Jean-François Bauduret, l’un des artisans, notamment, de la loi 2002-2, Jean-René Brunetière, concepteur de la réforme de la tarification des Ehpad de 1997, le Pr Alain Franco, et les fédérations (FHF, Uniopss, Fehap, Synerpa). Lire le programme ici.

Lors de ces 2es Assises nationales des dirigeants d’Ehpad, nous récompenserons aussi, en votre nom, les personnalités du secteur qui ont marqué ces 15 dernières années. Pour voter, cliquez ici.

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 12:03
 
La Fédération nationale des infirmiers libéraux (FNI) et le Syndicat national des prestataires de santé à domicile (Synalam) ont rendu publique une étude qui, disent-ils, « fait la démonstration de l'intérêt du recours au "couple" prestataire/infirmier libéral dans le soin à domicile ».

© annedde - istockphoto
Cette étude médico-économique a comparé trois modes de prise en charge (hospitalisation classique, hospitalisation à domicile, ambulatoire), pour une chimiothérapie pour des patients cancéreux. L’étude compare les coûts de la prise en charge dans les trois modes pour deux calendriers de soins (2 jours de chimio toutes les deux semaines ; 5 jours de chimio toutes les trois semaines).

La prise en charge à domicile associant infirmiers libéraux et prestataires de santé est toujours moins coûteuse, assurent les partenaires. Exemple : pour 2 jours de chimio toutes les deux semaines, le traitement anti-douleur + la nutritition parentérale coûtent plus de 43 500 euros à l’hôpital, 29 300 euros en HAD, et 26 200 euros avec une prise en charge infirmière et prestataire de santé. La différence de coûts est encore plus grande avec le traitement plus long.

Avec cette étude, les partenaires veulent « interpeller les autorités de santé nationales et régionales pour défendre ce modèle qu'ils jugent menacé, notamment par la méconnaissance des autorités de santé et par le tropisme hospitalier du système sanitaire ».

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 12:00
 
Le groupe Korian a annoncé les nominations de Christian Chautard et Yann Coléou, respectivement au poste de président et de directeur général. Ces nominations s’accompagnent aussi d’une reprise en main du groupe par les actionnaires.

à gauche : Christian Chautard, président de Korian - à droite : Yann Koléou, directeur général - © korian
Grand ménage de printemps chez Korian. Le 22 mars, le 3e groupe français d’Ehpad a annoncé à la fois un changement d’organisation et un changement de tête. Korian était jusqu’ici une structure à conseil de surveillance et directoire. Il passe à une organisation autour d'un conseil d’administration avec un président (non exécutif) et un directeur général séparé. Une décision « motivée par le souhait des actionnaires de s’impliquer d’avantage dans la stratégie du groupe », lit-on dans le communiqué de presse.

Christian Chautard, 63 ans, est le nouveau président non exécutif du conseil d’administration. La tache de ce consultant en stratégie, ancien élève de Polytechnique, et qui a siégé au conseil de l’un des principaux actionnaires de Korian, Batipart jusqu’en juin dernier, sera « d’animer le dialogue avec les actionnaires et d’élaborer la stratégie du groupe, en lien étroit avec le management ». Yann Coléou, 50 ans, est nommé directeur général exécutif de Korian. Ancien de Sodexho, il a passé 17 ans comme directeur général de la division santé du groupe de restauration collective. Depuis avril 2009, il était PDG du groupe ISS France, première filiale du

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 11:57
Les candidats n’en parlent pas ? Interrogeons-les ! Le Mensuel des Maisons de Retraite a questionné six candidats à la présidentielle sur leurs projets en matière de prise en charge du grand âge.

de gauche à droite et de haut en bas :
© Patrick Dagonnot - EHPA Presse - © Soazig de la Moissonnière - © Patrick Dagonnot - EHPA Presse - © Front de gauche - © Grégoire Faney - EHPA Presse - © Front national
Un frémissement. A l’heure où nous écrivons ces lignes (J-30 avec le premier tour du 22 avril), les candidats à l’élection présidentielle commencent tout juste à aborder les questions du grand âge. Oh rien de spectaculaire. Juste un mot de ci de là, de temps en temps, et rarement spontané. Après une année 2011 si riche en débats, discussions, concertations et rapports sur le sujet, les candidats à la présidentielle sont pourtant censés ne rien ignorer des enjeux et des solutions possibles.

Dans leurs réponses aux 7 questions sur la prise en charge du grand âge posées par le Mensuel des Maisons de Retraite, ils avancent quelques grands axes de la politique qu’ils mèneront s’ils sont élus. Entre Nicolas Sarkozy, François Hollande, Eva Joly, Jean-Luc Mélanchon, Marine Le Pen et François Bayrou, un même constat : il faut faire quelque chose pour le grand âge ! Cela ne mange pas de pain de l’affirmer, mais tous veulent un 5e risque. Enfin, leur 5e risque, parce chacun en a une définition différente. Entre le Modem qui juge « incontournable » le recours complémentaire à l’assurance privée, le Front de Gauche qui ne veut pas en entendre parler, et le Front National qui veut fondre ce qu’elle appelle « la branche dépendance » dans une vaste réforme de la Sécurité sociale, il y a de vrais grands écarts idéologiques.

Retrouvez les réponses de Nicolas Sarkozy, François Hollande, François Bayrou, Eva Joly, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon dans le dossier « spécial présidentielle » du Mensuel des Maisons de Retraite de mars.

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 16:20

 
Qu’avons-nous fait de nos 15 ans ? Le Mensuel des Maisons de Retraite a été, toutes ces années, le témoin privilégié de l’extraordinaire bond en avant du secteur des Ehpad. Un œil dans le rétroviseur, l’autre vers l’horizon, les 2es Assises nationales des dirigeants d’Ehpad balayeront tous les sujets qui ont été, sont et seront au cœur de vos préoccupations de professionnels des Ehpa/Ehpad.

De la naissance des politiques publiques en faveur de l’autonomie, en passant par la tarification des établissements, à la qualité et à son évaluation, et à l’enjeu de la communication… Nous débattrons à l’heure où débute une nouvelle séquence politique majeure. Parmi les intervenants pressentis : Paulette Guichard et Philippe Bas, anciens secrétaires d’Etat (et ministre pour le second), chargés des personnes âgées, Claudy Lebreton, président de l’ADF, Jean-François Bauduret, l’un des artisans, notamment, de la loi 2002-2, Jean-René Brunetière, concepteur de la réforme de la tarification des Ehpad de 1997, le Pr Alain Franco, et les fédérations (FHF, Uniopss, Fehap, Synerpa). Lire le programme ici.

Lors de ces 2es Assises nationales des dirigeants d’Ehpad, nous récompenserons aussi, en votre nom, les personnalités du secteur qui ont marqué ces 15 dernières années. Pour voter, cliquez ici.

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 16:17
 
 
Estimer la « charge ressentie » de l’entourage des personnes âgées dépendantes vivant à domicile, c’est le très intéressant exercice auquel s’est livrée la Drees dans une récente étude. Où l’on apprend que 20 % des 3,4 millions d’aidants qui accompagnent un proche âgée dans les taches de la vie quotidienne ressentent une charge importante. Et que l’intervention des professionnels n’est pas forcément vécue comme un soulagement.

© SilviaJansen - istockphoto
D’abord, le panorama général : il y 4,3 millions d’aidants en France, dont 3,9 qui apportent une aide à la vie quotidienne – les autres apportant aide financière, matérielle ou soutien moral. Parmi ces 3,9 millions, 3,4 accompagnent un seul proche âgé à domicile dans les taches de la vie quotidienne.

Ce sont ces 3,4 millions-là que la Drees a ausculté, souhaitant connaître leur « charge ressentie », c’est-à-dire l’ensemble des conséquences physiques, psychologiques, émotionnelles, sociales et financières de l’accompagnement, telles qu’ils les vivent. A la suite d’un calcul savant (définition d’un indice de charge dont nous vous épargnons la définition mais que vous pouvez retrouver dans le document(1)), la Drees aboutit à la conclusion que 2,7 millions d’aidants supportent « tout au plus » une charge légère, et 690 000 une charge importante (moyenne ou lourde).

Sans surprise, plus la charge ressentie est importante, plus la fatigue, la dépression et le stress sont au rendez-vous. Plus, aussi, les aidants font passer leur santé après celle de leur proche. Plus, enfin, ils ressentent un fort sentiment de solitude : 83 % des aidants qui ressentent une charge lourde éprouve ce sentiment, contre 7 % des aidants sans charge ressentie.

Mais l’enquête Drees tord aussi le coup à quelques idées reçues. D’abord, l’intervention des professionnels au domicile n’est pas forcément vécue comme un soulagement : elle ajoute même à la charge ressentie de certains car la présence de nouveaux acteurs implique une gestion accrue de l’organisation de l’aide. C’est, en effet, parfois l’aidant qui joue le rôle de coordinateur entre les différents professionnels. Autre surprise, l’ancienneté de l’aide – sa durée pour être clair – n’est pas un facteur aggravant : toutes choses égales par ailleurs, il n’y a pas d’effet d’usure qui viendrait alourdir la charge, note la Drees. De même, le fait de cohabiter avec la personne aidée n’est pas un facteur déterminant de la charge ressentie.

Alors que l’aide aux aidants est sur toutes les lèvres, et se développe, ici et là, à vitesse grand V, cette étude de la Drees a le mérite d'apporter un éclairage nouveau, et du coup, peut donner des idées.

(1) « Aider un proche âgé à domicile : la charge ressentie », Etudes et résultats n°799, Drees.

Pour en savoir plus, lisez le Journal du Domicile & des services à la personne d’avril.

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 16:15
 
 
Les médicaments anti-Alzheimer ont-ils une efficacité dans la durée ? C'était l'une des principales questions soulevées, l'automne dernier, suite au déclassement par la HAS du SMR des quatre produits actuellement sur le marché. Une nouvelle étude britannique apporte un début de réponse.

© dinostock - Fotolia.com
Cette étude britannique, financée par le Conseil britannique de recherche médicale et l'association britannique Alzheimer's Society a été relayée par le New England Journal of Medicine. Durant 52 semaines, 295 Londoniens ont suivi un traitement à base de Donepezil (entrant dans la composition de l'Aricept). Selon l'équipe du Dr. Robert Howard, du King's College of London, des effets bénéfiques significatifs, sur le plan cognitif, auraient été relevés chez les patients traités de manière continue durant cette période. L'étude semble donc confirmer l'hypothèse d'un impact positif de l'Aricept pour le traitement des syndromes d'Alzheimer, sur une période d'au moins 12 mois.

 


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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 16:13
Dans une étude en date de mars 2012, s'appuyant sur les bilans de 2010, la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) établit un nouvel état des lieux des dépenses sociales des départements. Résultat : les dépenses poursuivent leur envolée, notamment celles liées à la prise en charge des personnes handicapées.

© pandore - Fotolia.com
Cherchez l'erreur : entre 2009 et 2010, les dépenses sociales des conseils généraux ont augmenté de 4,8% pour atteindre les 26 milliards d'euros. Dans le même temps, les diverses dotations et subventions allouées par l'Etat ont diminué de 1,4 % ! Résultat, la pression s'accentue sur des budgets départementaux de plus en plus difficiles à équilibrer, notamment du fait de la crise, qui fait exploser les dépenses d'insertion (RSA, contrats d'avenir, etc.), en hausse de 10,7 %.

A coté de cette inflation des dépenses d'insertion, la hausse des budgets consacrés à la perte d'autonomie paraitrait presque modeste. Globalement, le secteur personne âgée, deuxième poste de dépense derrière les missions d'insertion avec 6,5 milliards d'euros, voit son enveloppe nette grossir de 1,3 %, principalement du fait de la hausse du nombre de prestations délivrées dans le cadre de l'APA (mobilisée à 53 % en établissement).

Si les dépenses d'APA semblent s'être à peu près stabilisées (en comparaison avec la forte inflation avant suivi la mise en place de la prestation, en 2002), les coûts liés à la prestation de compensation du handicap (PCH) connaissent par contre une brusque envolée (+22 %).

Ces chiffres nationaux cachent toutefois de fortes disparités régionales. Comme le souligne l'étude, alors qu'un quart des départements enregistrent une hausse modérée des dépenses liées aux personnes handicapées (moins de 0,7 % d'augmentation), celles-ci s'envolent chez un quart des autres (+ de 9,9 % d'augmentation).

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  • : l'association Les Compagnons de vie à Domicile est adhérente à l’UNA (Union nationale de l'aide, des soins et des services aux domiciles) chargée de nous représenter et de défendre vos et nos intérêts. La mission de service public que s’est fixée Les Compagnons de vie à Domicile consiste en l’accompagnement et l’assistance dans les tâches du quotidien des personnes âgées ou handicapées, ainsi que des personnes malades ou en difficulté passagère.
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